Re-connexion, ambiance bien vivre
Bonjour,
Après être allés votés, nous avons un peu discuté de ce vrai non débat qu'est le vote des étrangers. Dans la longue file d'attente, il y avait des africains, des
asiatiques, des latinos, tous avaient leur carte d'électeur bleu blanc rouge et venaient élire leur président de la république, qui est aussi le mien. Nous étions unis par la même ferveur de
vouloir vivre mieux dans un monde plus serein.
Le débat soulevé par des petits malins tels que Mélenchon n'en est un que pour les bobos vivant en autarcie dans leur caste, en mal de champs de bataille, se prenant sans doute pour de grands philosophes dans la parole et de grands révolutionnaires par la parlotte. Le débat n'existe pas. Quelle que soit ta couleur de peau, ta religion, ton origine, en France, tu peux voter à partir du moment où tu as fait la démarche de devenir Français. POINT BARRE !
Soulever le débat du droit de vote des étrangers, c'est créer un problème là où il n'y en a pas, c'est enfumer les gens, les prendre pour des cons, et accessoirement les diviser "pour mieux régner". Si quelqu'un est étranger en France, c'est qu'il n'a pas envie de devenir français et il est donc normal qu'il n'ait pas le droit de voter. POINT BARRE !
A bon entendeur, salut Monsieur Mélenchon ! Mais vous n'existeriez pas si vous ne suscitiez pas vous-même ce genre de polémique méchamment intello. C'est tout au plus malhonnête, tout au moins imbécile. Vous pourriez sans doute être à la tête d'un grand mouvement révolutionnaire si seulement vous n'étiez pas vous aussi obnubilé par le pouvoir. Car la quête du pouvoir rend forcément fourbe. La quête du pouvoir est intéressée. La quête du pouvoir vous isole de ceux pour qui vous êtes censé vous battre. La quête du pouvoir vous enivre. Et pourtant nous avons besoin d'un chef pour entreprendre cette nécessaire révolution, mettre à plat le système et repartir sur de bonnes bases. Pour cela, il faut partir d'avant 1789, car, vous le savez comme moi, c'est là que nos malheurs ont vraiment commencé, c'est la qu'est né le monde de la finance, c'est là que l'humain a perdu son identité..... A suivre sans aucun doute. La page de l'histoire n'est pas encore tournée et quel que soit celui ou celle qui deviendra président, il faudra se battre pour exister.