que ceux qui protègent les roms les prennent chez eux !

Ce n'est pas une provocation. C'est juste le constat d'une femme, après la découverte de son champ, suite à un séjour prolongé de Roms.

La Justice française est bien tarabiscotée, tiraillée entre des lois, les désirs pressants d'un gouvernement omniprésent, une volonté de plus en plus ténues de faire régner l'ordre. Parce qu'usée, déboussolée. Empilées les unes sur les autres, les lois se contredisent, s'annulent. Elles sont finalement faites pour être transgressées. Les politiques et leurs avocats en savent quelque chose !

Alors la dame avait un champ en friche dans la région de Béziers. Elle ne s'est rendue compte de la présence des Roms sur son terrain que plusieurs semaines après leur installation.

La SUITE...

Josiane Vareil Calvet assure ne rien avoir « contre ces pauvres malheureux qui sont considérés comme des moins que rien par de nombreux États. Mais j’estime que ce n’est pas aux particuliers à assumer les dysfonctionnements de la collectivité. » Elle a entamé une procédure d’expulsion en justice qui n’a rien donné. Elle a fait constater par huissier l’occupation de son terrain. « Je ne voulais pas être tenue responsable de quoi que ce soit s’il y avait eu, là, un accident. Ce n’était pas une aire d’accueil pour gens du voyage. »
Depuis le départ des habitants de ces caravanes, elle prend à sa charge l’évacuation des habitats, mais aussi celle de la ferraille et de tous les déchets. La note s’annonce d’ores et déjà élevée à plusieurs milliers d’euros.

« Le pire dans cette histoire est bien que pour protéger mon terrain, je vais faire réaliser des travaux. Un fossé sera creusé, mais aussi un talus monté et des rochers installés. Tout ça pour en interdire l’accès, et du coup je m’interdis de venir chez moi. C’est un comble. »

Et de conclure sur une note d’humour un brin provocateur : « Je suis en train de réfléchir à une journée porte ouverte sur mon terrain pour que tous les gens qui les soutiennent sans les prendre chez eux viennent s’amuser chez moi un week-end pour nettoyer tous les restes laissés par leurs protégés. »voir l'ensemble de l'article dans le MIDI LIBRE

Voilà. Tant qu'ils étaient chez elle, elle n'a jamais rien pu obtenir, ni d'eux, ni de l'Etat, ni de la Justice. Tout ça pour souligner à l'hypocrisie du Gouvernement comme de ceux qui soutiennent les Roms. Le constat est implacable. C'est comme toujours le grand cirque médiatique, à celui qui sortira la plus grosse ! Ca remplace le concours de celui qui pisse le plus loin et c'est tout aussi débile. Sauf que les pions sont des êtres humains. On leur paie le voyage aller, avec suffisamment d'argent pour qu'ils se paient le retour. Ils ne peuvent jamais dormir tranquilles. A mon petit niveau, j'ai entrevu ce que ça fait de ne pas savoir où on va dormir demain. Les Roms sont bien sûr rompus à ce genre d'exercice, ça fait des siècles que cela dure. Et cela durera encore des siècles. A quand un arrêté pour virer les Hongrois ?

Ah là, là ! le temps passe et l'histoire se répète, à l'infini on dirait. Parce que les humains ne comprendront jamais rien. La modernité a fait qu'on a remplacé les trains par des avions plus rapides, mais les méthodes restent les mêmes.... Oh pas beau, pas beau !