Voilà. Le débat sur la légitimité d'une éventuelle vaccination mondiale contre ce qu'en d'autres temps on aurait appelé un rhume éveille peu à peu les consciences. Ceux qui n'ont pas de conscience
iront se faire vacciner les yeux fermés, endoctrinés par le culte de la santé et n'auront peut être pas la possibilité de se plaindre vu qu'ils seront atteints d'Alzheimer !
Sans passion mais avec insistance, je reproduis les commentaires déposés cette nuit par Naradamuni sur mon blog, nouvelle mise au point nécessaire à fin de pouvoir le moment venu prendre nos
décisions en toute conscience. A relayer intensément. Et n'oubliez pas qu'il existe le Code de Nuremberg !
Alors qu'en France, nos ministres disent qu'il n'y aura "pas d'obligation vaccinale
pour l'instant", nous vous engageons à consulter et à
télécharger la
circulaire officielle du 21 août 2009 envoyée aux Préfets de zone de défense
(1), de région et de département.
http://www.sante-jeunesse-sports.gouv.fr/IMG/pdf/Circulaire_vaccination_090824.pdf
Nous attirons plus particulièrement l'attention des personnels de Santé et de l'Education nationale. Ils figurent parmi les trois groupes particulièrement ciblés
(cf.
circulaire).
A vous de vous informer sur les conséquences, pour vous et pour votre famille, de l'acceptation de ce programme.
Nous rappellerons simplement ici que :
- la définition de "pandémie" a été modifiée précipitamment début 2009 par l'OMS
- l'OMS a le droit d'imposer, aux 179 pays signataires de leur charte, un "gouvernement provisoire" au-dessus des Constitutions établies, en cas d'urgence sanitaire
(droit déjà utilisé l'an
passé)
- les vaccins n'ont pas été testés à temps avant la mise sur le marché et leur acceptation (AMM), ce qui est même reconnu dans les doc officiels
- il y aura 4 vaccins différents en France, de 4 labos différents, dont un venant de Baxter, inculpé dans différentes "affaires" en cours
-
de nombreuses personnalités du monde médical et scientifiques dénoncent cette situation avec des arguments scientifiques indégnables
- le danger est considérable de cumuler vaccinations "grippe saisonnière" + 2 vaccinations "porcines", sur des délais trop courts pour laisser le temps aux défenses naturelles de se
reconstituer
- plusieurs journalistes soucieux d'avertir la population ont été contraints de ne pas diffuser leurs articles de presse (une censure extrême opère en France, aucun débat, ce qui devrait intriguer les plus
sceptiques).
Que vous soyez POUR ou CONTRE la vaccination, vous devez bien vous rendre compte qu'il y a quelque chose qui cloche dans cette affaire...
Etant donné que les tests et protocoles nécessaires à toute vaccination n'ont pas été respectés, on peut considérer que cette vaccination de masse
sera expérimentale.
D'ailleurs la traçabilité rigoureuse demandée dans la circulaire, vient que les 4 vaccins des 4 fournisseurs, seront de compositions
différentes.
Ce qui confirme que l'on a bien à faire à une expérimentation à très grande échelle.
Passer de la recherche en laboratoire à l'application sur des millions de gens,
C'EST DU JAMAIS VU !
La traçabilité est même officiellement justifiée dans la circulaire, pour suivre les différents effets secondaires attendus
!
Nous rappellerons donc ici le Code de Nuremberg (établi en 1947 pour les expérimentations humaines - Cf. PJ), au cas où une loi d'exception, voire une loi martiale
(qui annuleraient la Constitution) soit promulguée.
Le Code de Nuremberg est à la base de la
bioéthique actuelle :
1. le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel.
2. l'expérience doit avoir des résultats pratiques pour le bien de la société et est impossible à obtenir par d'autres moyens.
3. l'expérimentation humaine ne doit être envisagée qu'après une expérimentation sur l'animal.
4. l'expérience doit être pratiquée de façon à éviter toute souffrance non nécessaire.
5. l'expérience ne doit pas être tentée quand il existe une raison a priori de croire qu'elle entraînera la mort ou l'invalidité du sujet.
6. les risques encourus ne devraient jamais excéder l'importance humanitaire du problème que doit résoudre l'expérience envisagée.
7. on doit écarter du sujet expérimental toute éventualité susceptible de provoquer des blessures ou la mort.
8. les expériences ne doivent être pratiquées que par des personnes qualifiées.
9. le sujet humain doit être libre de faire interrompre l'expérience, et ce, n'importe quand.
les scientifiques expérimentateurs doivent être libres de faire interrompre l'expérience s'ils jugent que leur bien-être ou celui de leur(s) sujet(s) est en danger
Nous vous invitons à consulter la base d'infos visible, jusqu'au 20 septembre 2009, sur le site d'Artemisia Collège :
http://www.artemisia-college.org/Grippe_A_H1N1___le_point_et_que_faire__-00-03-01-0235-01.html
Aujourd'hui, plus rien n'est logique, tout est surréaliste.
Un jour ou l'autre, dans notre vie, en conscience,
il faut apprendre à dire
NON ;
peut-être que cette "affaire" pourra servir de révélateur...
CRI-VIE
Coordination d’associations, de médecins, de scientifiques, de juristes,
pour la recherche et l’information transparentes en matière de santé
3bis, rue Henri Faisans. 64 000 PAU. Tél : 05 47 41 50 22
cri-vie@neuf.fr
Le 31 août 2009
Madame Roselyne BACHELOT
Ministre de la santé
Objet : Gestion des menaces de pandémies
Madame la Ministre,
Nous revenons à vous, Madame la Ministre pour obtenir les réponses aux questions posées précédemment dans nos courriers en date des 6 juin, 14 juillet et 22 août derniers .
Nous souhaiterions être totalement assurés que les vaccinations contre la grippe saisonnière et contre la pandémie H1N1, voire H5N1, ne seront en aucune façon rendue obligatoires pour toute ou
partie de la population comme vient de le décider le gouvernement grec pour l’intégralité de sa population, citoyens et résidents sans exception, alors qu’en 1918-1919, la Grèce, qui avait
refusé les vaccinations, avait été épargnée par la pandémie.
Or, devant la presse écrite, le préfet des Pyrénées-Atlantiques, Philippe Rey a dressé le vendredi 28 août un état des lieux de l’épidémie de grippe A dans le département. Si l’on en croit la
presse, il aurait notamment déclaré que « pour des raisons évidentes, seront obligatoirement et systématiquement vaccinés : les professionnels de santé, les personnels des
établissements scolaires et carcéraux. »
Qu’en est-il réellement ? Le vaccin « pandémique » serait-il le seul rendu obligatoire ? le vaccin saisonnier le serait-t-il également ?
Qu’elles soient imposées ou simplement recommandées, nous souhaitons avoir la certitude que les français qui recevraient les vaccinations saisonnière et pandémique seront régulièrement et
objectivement informés du réel rapport bénéfice/risque de ces vaccins. Acte médical à part entière, toute vaccination doit en effet être précédée d’une information claire, loyale et appropriée.
Or, comme vous le savez, l’information des médecins et de tous ceux qui réalisent la prescription est assurée essentiellement par les laboratoires qui ne fournissent qu’un à 10% de leurs
données pharmacologiques aux autorités sanitaires. C’est pourquoi, en recommandant la vaccination saisonnière, le Gouvernement se doit vérifier la qualité de l’information reçue par les
personnes à qui cette vaccination est proposée. Le document scientifique irréfutable sur « le réel rapport bénéfice/risque du vaccin contre la grippe » qui vous a été transmis
précédemment devrait donc être transmis à tous les prescripteurs ainsi qu’à tous ceux qui réalisent la prescription, à charge pour eux de la transmettre aux patients qui désirent se faire
vacciner.
Concernant les vaccins pandémiques, nous aimerions aussi être assurés que les essais cliniques ne seront pas bâclés comme le craint le quotidien Le Monde du 7 août dernier se référant à un
éditorial du Lancet ou encore Le Daily Express du 14 août pour qui les enfants seront des cobayes (voir pièce jointe).
Quelle serait dès lors la position des compagnies d’assurances devant de tels vaccins dont les essais auront été bâclés et dont certains effets secondaires seraient insoupçonnés,
accepteraient-ils de couvrir de tels risques ?
Puisque vous avez reçu les premiers lots de vaccins, nous aimerions également en connaître les compositions respectives et notamment le type d’adjuvant et de conservateur utilisés pour chacun
d’entre eux.
Si nous nous référons par ailleurs à certaines définitions contradictoires retenues par l’OMS, nous aurions chaque année, avec la grippe saisonnière – et ce depuis de nombreuses années -, une
pandémie aviaire dans l’hémisphère nord ainsi que dans l’hémisphère sud avec une mortalité parfois sensiblement plus élevée que l’actuelle « pandémie » H1N1 qui, selon certains
experts particulièrement écoutés, évoluerait en deux phases avec une deuxième poussée à l’automne prochain beaucoup plus virulente.
Qu’a donc de plus la grippe porcine A/H1N1 d’avril 2009 pour être gérée de la sorte ?
Comment, en outre, les laboratoires Baxter, à qui la France a commandé dans un deuxième temps des vaccins, auraient-ils pu déposer, selon certaines sources, un brevet pour le vaccin contre le
virus H1N1 dès le 28 août 2007 ?
Auraient-ils bénéficié d’une souche issue du séquençage réalisé en 2005 à partir de personnes décédées en 1918-1919 de la grippe « espagnole » ou au contraire des souches H1N1
présentes chez 30% des élevages de porcs ou chez 10% des vétérinaires américains en contact avec ces élevages ?
Enfin, nous aimerions savoir s’il est vrai que « Selon les plans établis en 2005 pour le monde, y compris les USA, les gouvernements doivent être dissous en cas urgent de pandémie et
remplacés par des comités spéciaux de crise. Ces comités prendront en charge la santé et assureront l'infrastructure en ce qui a trait à la sécurité du pays. Ces comités seront responsables
devant l'OMS, l'Union Européenne, l'OMS et les Nations Unies en Amérique du Nord.... » ? (Déclaration de l'OMS, 2005)
Dans l’attente de réponses claires à l’ensemble de ces questions que se posent les citoyens - et dont l’absence pourrait nous amener à saisir la justice avant que le scandale n’éclate - et
restant à votre entière disposition, nous vous prions de croire, Madame la Ministre, à l’assurance de nos sentiments respectueux.
Christian RASSON Dr Marc VERCOUTERE
Pharmacien
P.S : Vous ne pouvez par ailleurs ignorer les questions judicieuses que vous ont posées le Sénateur Autain ou dernièrement l’euro-députée Rivasi ainsi que le doute légitime chez de plus en plus
de médecins allemands, britanniques ou Chinois notamment sur la réelle efficacité de ce vaccin pandémique et son innocuité.
LE RÉEL RAPPORT BÉNÉFICE/RISQUE DU VACCIN
CONTRE LA GRIPPE
L’efficacité du vaccin contre la grippe humaine, qui éviterait 2 500 à 4 000 décès chaque année en France et 400 à 700 décès en Belgique, n’a jamais été démontrée scientifiquement.
La revue de médecine, The Lancet révélait déjà, le 10 août 1974, que « les résultats jusqu'à présent obtenus démontrent que l'offre annuelle d'une injection du vaccin dans la vaste industrie
n'a pas entraîné une réduction significative de la maladie ». Vingt ans plus tard, une étude de l’institut national de santé et de recherche médicale (INSERM) confirmait la survenue d'une
grippe chez 20 à 60% des vaccinés, ainsi que la supériorité de l'immunité naturelle qui protégeait bien plus longtemps.
Le relevé des maladies transmissibles, édité le 1er mars 2001 par l’Agence de santé publique du Canada, confirme cette étude de l’INSERM. Selon le CDC de Vancouver qui a réalisé l’étude, 77% des
300 pensionnaires d'une maison de retraite de Colombie-Britannique avaient été vaccinés contre la grippe. 28 d'entre eux, ainsi que de nombreux membres du personnel, lui-même vacciné à 57%,
contractèrent, quatre à huit semaines plus tard, une grippe de type B apparenté à B/Yamanashi, c'est-à-dire la même souche que celle utilisée pour la mise en route du vaccin administré en novembre
2000. Le Tamiflu®, administré aux pensionnaires de l'un des services touché par les huit premiers cas de grippe, n'a pas empêché la survenue de 20 autres cas dans les autres services de
l'établissement.
Selon une étude plus récente, synthèse de 64 études internationales représentant 96 saisons de grippe et portant sur 2,5 millions d’observations, l’efficacité globale des vaccins sur les maladies
grippales chez les personnes âgées n’est que de 23 %, lorsque le vaccin correspond bien au virus grippal en circulation (rassurez-vous, l’histoire ne dit pas que le virus du vaccin est responsable
de l’épidémie de grippe !). Lorsque le vaccin rencontre un autre virus grippal que celui contre lequel il est censé lutter, la protection des sujets vaccinés est moins bonne que celle obtenue
avec le placebo chez les personnes non-vaccinées ! (Dr Tom Jefferson et all., The Lancet, 22 septembre 2005.)
Selon une synthèse de 51 autres études – dont 17 russes - portant sur plus de 260.000 enfants, les chercheurs ont conclu qu'il n'y avait « aucune évidence que l'injection du vaccin chez les
enfants de 6 à 23 mois est plus efficace que le placebo. » (The Cochrane Database of Systematic Reviews. "Vaccines for preventing influenza in healthy children" 2006).
Pour les adultes en bonne santé, les résultats étaient comparables : 25 études incluant plus de 60 000 participants ont été passées en revue. Le groupe de
Cochrane a constaté que la vaccination a réduit le risque de grippe d'un 6% maigre et a réduit le nombre de jours d’arrêt de travail par moins d'un jour (0,16 jour). (The Cochrane Database of
Systematic Reviews « Vaccines for preventing influenza in healthy adults. »)
Une autre étude canadienne a démontré que l'incidence de la grippe n’avait aucunement diminué dans l'Ontario, après l'introduction de la campagne universelle d'immunisation de grippe en 2000.
Toutes les grippes confirmées par les laboratoires entre janvier 1990 et août 2005 ont été analysées. On a déterminé que « (…) en dépit de la distribution intensifiée
de vaccinations et des ressources financières accrues employées pour favoriser la vaccination, » l'incidence de la grippe n'avait pas été diminuée par les campagnes nationales de vaccination
contre la grippe. (Groll, DL, Thompson, DJ. « Incidence of influenza in Ontario following the Universal Influenza Immunization Campaign » ; Vaccine : April 5, 2006)
Reposant, nous affirme-t-on, sur la présence d'anticorps spécifiques, l'efficacité du vaccin contre la grippe varie de 20 à 65% chez les personnes âgées et tend même à diminuer avec le temps en
raison du « péché originel » des immunologistes. Les sujets ayant été précédemment infectés (ou vaccinés), produisent en effet préférentiellement des anticorps contre le premier type de
virus qu'ils ont rencontré, plutôt que contre les souches contenues dans un vaccin ultérieur.
Les risques de la vaccination
Le Vidal en France, comme le Compendium en Belgique, présents dans le cabinet de tous les médecins et des pharmaciens, nous informent de l’existence pour tous les vaccins contre la grippe, et en
dehors de toute notion de sida, de « réponses faussement positives aux épreuves sérologiques utilisant la méthode Elisa pour détecter les anticorps contre HIV1, hépatite C, et surtout HTLV1.
Infirmées par le Western Blot, ces réactions transitoires faussement positives seraient dues à la réponse IgM induite par la vaccination ». Preuve s’il en est que l’administration de ces
vaccins qui font appel à du formol, reconnu cancérigène, n’est pas du tout maîtrisée et reste empirique.
La revue de médecine, The New England Journal of Medicine du 9 mai 1996, nous apprend également que « la réplication du VIH est augmentée après administration du vaccin grippal à des
patients infectés par le VIH. De plus, la vaccination semble augmenter la susceptibilité à l’infection in vitro des lymphocytes des personnes non infectées », voire la susceptibilité à
d’autres infections.
Le système immunitaire fait appel à des lymphocytes présents dans le sang et le tissu lymphatique : Les cellules K ou Natural Killer, capables de détruire les cellules infectées ainsi que les
cellules cancéreuses. Interviennent également d’autres cellules comme les cellules T, fabriquées dans la moelle. Ces cellules doivent subir une maturation et une programmation au niveau du thymus
pour se transformer en cellules CD4 et CD8. Les cellules CD4 (CD4 helper) orchestrent la réponse immunitaire en activant d’autres cellules immunitaires et en stimulant la production des anticorps
par les lymphocytes B. Les cellules CD8 (CD8 suppressor) ont pour fonction d’arrêter l’activité des cellules tueuses en signalant l’arrêt de l’attaque. L’analyse de ce rapport CD4/CD8 permet de
suivre attentivement l’évolution du système immunitaire chez les patients atteints de sida ; sa diminution indiquant une évolution défavorable avec une augmentation de la charge virale.
Or, des perturbations de ce rapport CD4/CD8 sont observées avec tous les vaccins. M. Eihl, J. Mannhalter, G. Zlabinger de l’Université de Vienne en Autriche ont ainsi mis en
évidence, avec le vaccin contre le tétanos, comme avec les vaccins couplés, diphtérie, tétanos, polio et coqueluche, un affaiblissement du système immunitaire comparable à celui observé au cours du
sida. L’anatoxine tétanique avait été injectée à 11 sujets en bonne santé, âgés de 25 à 50 ans, n’appartenant pas à un groupe à risque pour le sida. Entre 7 et 14 jours après la vaccination, les
évaluations moyennes des rapports CD4/CD8 étaient significativement plus basses chez l’ensemble des sujets qu’avant la vaccination, avec pour certains des taux comparables à ceux observés en cas de
sida. Un mois plus tard, ce rapport CD4/CD8 revenait à la normale. (New England Journal of Medicine, vol 310, 1984)
D’autre part, 7 des 11 vaccins contre la grippe commercialisés font appel à des ARN double-brins qui exercent une régulation du noyau et donc des gènes des cellules de la personne vaccinée. Ces
doubles ARN bloquent certains gènes sur la chaîne d'ADN et notamment chez les personnes âgées, dont la production des gènes et des cellules est diminuée ou ralentie voire déficiente. Il en résulte
un fonctionnement anormal des cellules, au premier plan desquelles les neurones ! (travaux d’Andrew Fire et Craig C. Mello sur les mécanismes biologiques contrôlant les flux d'informations
génétiques, qui leur a valu le Prix Nobel de Médecine et Physiologie 2006).
D'où la floraison grandissante des Alzheimer actuelle